ARELACOYAVA

L’envie de porter dans le monde et de valoriser la musique africaine et ses origines gabonaises, grandit chaque jour... Avec l’idée toujours présente de pouvoir un jour contribuer à l’émergence du chant lyric au Gabon et sur le continent africain. 

Adriana est une Une Femme, Une Africaine, Une gabonaise, Une citoyenne du Monde engagée ...
Elle est une artiste à part entière qui ne s’impose pas de frontière musicale et se plaît à fusionner avec passion ses capacités vocales en opéra lyrique avec ses influences africaines. Une musique actuelle, exprimée à la force du cœur, aux accents universels. C’est au côté de James Chance, artiste new-yorkais de la No-wave et de Femi Kuti musicien Afrobeat du Nigeria qu’elle fait ses premières apparitions sur scène. 

Elle se présente à un Tremplin de France Ô au Rocher de Palmer où elle gagne le titre de meilleur groupe Aquitaine et se voit propulser aux Francofolies de La Rochelle sur la grande scène principale, telle un ovni dans un nid de guêpes. 

C’est avec un esprit très positif et débordant d’énergie qu’Arelacoyava alias Adriana nous fera partager en 2021, la sortie de son premier CD « Boutsiane ».... et la Sortie Livret + CD « Petits contes du Gabon», histoires gabonaises courtes pour les enfants et adultes. 

L'une des plus grandes influences de sa vie musicale est le « chant pygmée ». Pour elle, c'est la source musicale et spirituelle originale de son pays, le Gabon - c'est une manière de chanter qui a presque une similitude avec le chant classique car elle nécessite également une approche technique et une formation très précise.
Elle aime explorer le riche patrimoine de cette musique pendant son temps libre ou dans des moments d'inspiration. Ce sont ses racines, ça fait partie de sa culture, sa culture gabonaise - pour Adriana c'est le début de la musique. 

Le blues gabonais (son appellation personnelle!), c'est quand nous chantons une variété de chansons dans nos langues maternelles. Cela crée un type de son spécial qui est très «blues» - très mélancolique, très meurtri. Même si les paroles peuvent être assez joyeuses, il y a toujours cette mélodie qui fait ressortir ce petit côté «blues». À titre d’exemple, elle a interprété en « blues – lyrique » avec la pianiste Sophie Pornin une chanson d’une mère qui console son enfant, juxtaposée au Prélude en ut majeur de Bach - j’aime beaucoup. (Mwane Vole d’Annie Flore Batchelylies).